Keywords: paul gauguin painter french polynesia gardenia wreath tomb stone cemetery tropics remote hiva oa graveyard marquesas coral necklace offerings free copyrights picture frame Tomb of French painter Paul Gauguin on Hiva Oa island in the Marquesas French Polynesia ? Est-ce cimetière qui domine Atuona ? Robert Koenig conclut ce funèbre dossier par un rappel des péripéties auxquelles fut exposée la sépulture du peintre. Sauvée de l'anonymat en 1921 par un membre de la Société des fakirs américains , restaurée une première fois en 1929 par les soins de la Société des Études Océaniennes, elle ne trouve l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui qu'à partir de 1958 grâce à l'initiative du peintre de la Marine Pierre Bompard, et aux bras de quelques Marquisiens réquisitionnés pour le transport de pierres de 70 à 80 kg depuis une vallée voisine. Enfin, c'est en 1973 que la Fondation Singer-Polignac fait réaliser le bronze d'Oviri qui, depuis, veille sur le cimetière d'Atuona. * Pierre Bompard, « La nouvelle tombe de Gauguin à Atuona », Journal de la Sté des Océanistes (Paris), tome XV, n° 15, 1959 * Pierre Bompard, « Ma mission Paul Gauguin aux Marquises », Paris : Éd. des deux miroirs, 1962 Paul Gauguin Painter French Polynesia Gardenia Wreath Tomb stone cemetery tropics remote Hiva Oa Graveyard Marquesas Coral Necklace Offerings Est-ce cimetière qui domine Atuona ? Robert Koenig conclut ce funèbre dossier par un rappel des péripéties auxquelles fut exposée la sépulture du peintre. Sauvée de l'anonymat en 1921 par un membre de la Société des fakirs américains , restaurée une première fois en 1929 par les soins de la Société des Études Océaniennes, elle ne trouve l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui qu'à partir de 1958 grâce à l'initiative du peintre de la Marine Pierre Bompard, et aux bras de quelques Marquisiens réquisitionnés pour le transport de pierres de 70 à 80 kg depuis une vallée voisine. Enfin, c'est en 1973 que la Fondation Singer-Polignac fait réaliser le bronze d'Oviri qui, depuis, veille sur le cimetière d'Atuona. * Pierre Bompard, « La nouvelle tombe de Gauguin à Atuona », Journal de la Sté des Océanistes (Paris), tome XV, n° 15, 1959 * Pierre Bompard, « Ma mission Paul Gauguin aux Marquises », Paris : Éd. des deux miroirs, 1962 Tomb of French painter Paul Gauguin on Hiva Oa island in the Marquesas French Polynesia ? Est-ce cimetière qui domine Atuona ? Robert Koenig conclut ce funèbre dossier par un rappel des péripéties auxquelles fut exposée la sépulture du peintre. Sauvée de l'anonymat en 1921 par un membre de la Société des fakirs américains , restaurée une première fois en 1929 par les soins de la Société des Études Océaniennes, elle ne trouve l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui qu'à partir de 1958 grâce à l'initiative du peintre de la Marine Pierre Bompard, et aux bras de quelques Marquisiens réquisitionnés pour le transport de pierres de 70 à 80 kg depuis une vallée voisine. Enfin, c'est en 1973 que la Fondation Singer-Polignac fait réaliser le bronze d'Oviri qui, depuis, veille sur le cimetière d'Atuona. * Pierre Bompard, « La nouvelle tombe de Gauguin à Atuona », Journal de la Sté des Océanistes (Paris), tome XV, n° 15, 1959 * Pierre Bompard, « Ma mission Paul Gauguin aux Marquises », Paris : Éd. des deux miroirs, 1962 Paul Gauguin Painter French Polynesia Gardenia Wreath Tomb stone cemetery tropics remote Hiva Oa Graveyard Marquesas Coral Necklace Offerings Est-ce cimetière qui domine Atuona ? Robert Koenig conclut ce funèbre dossier par un rappel des péripéties auxquelles fut exposée la sépulture du peintre. Sauvée de l'anonymat en 1921 par un membre de la Société des fakirs américains , restaurée une première fois en 1929 par les soins de la Société des Études Océaniennes, elle ne trouve l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui qu'à partir de 1958 grâce à l'initiative du peintre de la Marine Pierre Bompard, et aux bras de quelques Marquisiens réquisitionnés pour le transport de pierres de 70 à 80 kg depuis une vallée voisine. Enfin, c'est en 1973 que la Fondation Singer-Polignac fait réaliser le bronze d'Oviri qui, depuis, veille sur le cimetière d'Atuona. * Pierre Bompard, « La nouvelle tombe de Gauguin à Atuona », Journal de la Sté des Océanistes (Paris), tome XV, n° 15, 1959 * Pierre Bompard, « Ma mission Paul Gauguin aux Marquises », Paris : Éd. des deux miroirs, 1962 |